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Affichage des articles du juin, 2006
Comment ça va ? Patrice Dumont La Coupe du monde progresse à un rythme échevelé. Les non-chômeurs, heureusement, peuvent assister aux matchs en différé, diffusés en boucle par les chaînes nationales et internationales captées au pays. Évidemment, quand le Brésil et l’Argentine jouent, les bureaux publics et les entreprises privées éprouvent toutes les peines du monde à faire le plein de leurs effectifs. C’est de bonne guerre. Les pertes, causées par la Coupe du monde, pourrait-on dire, sont calculées. On se reprendra sitôt arrivée la mi-juillet.Mais dans la rue, de nombreux chômeurs ont trouvé une alternative, très provisoire, à leur oisiveté : la vente de toutes sortes de gadgets aux couleurs des principaux pays de la compétition. Et là, il paraît qu’il ne peut y avoir de pertes. Car, le Brésil, principal exploité du commerce para-coupe du monde, a gagné ses deux matchs, et l’Argentine, elle aussi deux fois victorieuse, s’est même fait séductrice en écrasant une équipe serbo-monténég
Y a-t-il eu penalty ? Par Patrice Dumont La loi 12 des règles du jeu, « Fautes et incorrections », précise qu’il y a penalty quand dans sa propre surface de réparation et dans l’esprit de l’arbitre, un joueur touche la balle intentionnellement ou fait tomber un adversaire par un croc en jambes ou une charge irrégulière. Au cours d’un match qui se joue à cent à l’heure où les adversaires esquissent des gestes variés, s’accrochent, s’entremêlent, un arbitre, tout affûté qu’il puisse être, peut-il toujours détecter l’intention de ces joueurs, par ailleurs de plus en plus roublards ? On a envie de dire non. Nous ne sommes pas d’accord avec l’arbitre de la rencontre Italie-Australie, monsieur, mais convenons tout de suite, encore une fois, que ce ne fut pas facile malgré son bon positionnement. Grosso avait éliminé Bresciano en dehors de la surface de réparation. Après avoir pénétré dans la surface de réparation, l’Italien fit de même au détriment de Neill qui tomba allongé par l’effet du d

La tradition au pouvoir

La tradition au pouvoir Par Patrice Dumont Si on excepte la Croatie, la Serbie Monténégro, la République tchèque, la Côte-d’Ivoire, puissances émergentes dont le potentiel pourrait les autoriser à espérer une qualification aux 8e de finale, tous les grands, les véritables, ont réussi à franchir la première étape. Non sans mal cependant pour certains d’entre eux, puisque la France, en particulier, n’a eu son salut qu’à la deuxième mi-temps de la dernière journée, face à un Togo accrocheur à souhait. L’Italie, dans la même veine, après le nul concédé aux Américains diminués de deux joueurs, alors qu’eux autres en comptaient dix, est sortie première de son groupe, là encore à la dernière journée, où il bénéficia de la malchance tchèque (un expulsé comme face au Ghana). Le Ghana, justement, a apporté une note de fraîcheur à la compétition. Il n’est pas que le seul pays africain à obtenir sa qualification aux 8e. Sa performance d’ensemble est appréciable quand on se rappelle que malgré la d

Les titulaires au repos

Les titulaires au repos Par Patrice Dumont Drôle de gars que ces Mexicains obligés de prendre au moins un point dans leur opposition avec les Portugais si les Angolais gagnent par plus de deux buts d’écart contre l’Iran, mais incapables de marquer d’abord sur un penalty d’Omar Bravo et des occasions nettes gaspillées par Perez, Mendez, Franco et Fonseca qui, lui-même, avait cependant réduit le score d’un coup de tête décroisé alors que les Portugais menaient par deux buts à zéro ! De toute façon, les Angolais qui avaient ouvert le score face aux Iraniens s’étaient fait rejoindre de sorte que les maladresses mexicaines n’avaient aucun effet sur le classement final de ce groupe D. Le Portugal termine premier et le Mexique deuxième. L’entraîneur La Volpe, tout en conservant son 3-5-2, avait tenté une innovation par l’utilisation au milieu du terrain du meilleur défenseur mexicain de tous les temps, Raphaël Marquez. Mal lui en prit puisque l’intéressé n’eut pas son rayonnement habituel et

Coupe du monde: tout va pour le mieux?

Coupe du monde : tout va pour le mieux ? Par Patrice Dumont La Coupe du monde progresse à un rythme échevelé. Les non-chômeurs, heureusement, peuvent assister aux matchs en différé, diffusés en boucle par les chaînes nationales et internationales captées au pays. Évidemment, quand le Brésil et l’Argentine jouent, les bureaux publics et les entreprises privées éprouvent toutes les peines du monde à faire le plein de leurs effectifs. C’est de bonne guerre. Les pertes, causées par la Coupe du monde, pourrait-on dire, sont calculées. On se reprendra sitôt arrivée la mi-juillet. Mais dans la rue, de nombreux chômeurs ont trouvé une alternative, très provisoire, à leur oisiveté : la vente de toutes sortes de gadgets aux couleurs des principaux pays de la compétition. Et là, il paraît qu’il ne peut y avoir de pertes. Car, le Brésil, principal exploité du commerce para-coupe du monde, a gagné ses deux matchs, et l’Argentine, elle aussi deux fois victorieuse, s’est même fait séductrice en écra

Greatest haitians

Jean-Baptiste Pointe Du'Sable was the son of an African born ex-slave and a French Canadian sea captain. He was born a free black man in the Haitian city of Saint-Marc in 1745. Pointe Du'Sable was the first Haitian to appear on the United States postage stamp. Jean-Baptiste Pointe DuSable's father sent him to France to be educated, and afterwards, he worked as a seaman on his father's ships. He was a powerfully built man, well educated and cultured. He had a love for European art and at one time owned twenty-three old world art treasures. He spoke French, English, Spanish, and several Indian dialects. At the age of 20, Pointe DuSable sailed from Haiti to New Orleans. He escaped new enslavement and made his way North to Peoria, Illinois. There, he joined the Potawatomi Indian tribe and married a Potawatomi woman named Kittihawa also known as Catherine Pointe DuSable. He fathered a daughter, Susanne, and a son, Jean. In 1779, Dusable built a thriving trading post on the

La France et le Brésil ont décu ...

La France et le Brésil ont déçu leurs nombreux supporters Par Patrice Dumont La France et le Brésil ont déçu leurs nombreux supporters et les observateurs neutres par une prestation très éloignée du niveau de jeu auquel on peut s'attendre de la part de candidats sérieux au titre suprême. En fait, il faut relativiser cette déception parce que les champions du monde sortants ont gagné, il est vrai par le plus petit score (1-0), tandis que la France a continué sa triste série de quatre matchs cumulés en Coupe du monde sans marquer le moindre but (trois en 2002, un en 2006). Quel est le mal des Français ? Malgré deux occasions franches gaspillées par les Suisses (Frei et Gigax), ces derniers ont rarement mis en difficulté une défense française articulée autour de Gallas et Thuram, renforcée par deux des meilleurs milieux défensifs du monde, Vieira et Makélélé. La France paraît donc assez bien pourvue de ce côté, encore que l'examen puisse être considéré comme peu probant vu que les

Les joueurs attendus

Les joueurs attendus Patrice Dumont, journaliste sportif haitien La coupe du monde est le lieu par excellence des révélations et des confirmations des valeurs du football mondial. Dans l’esprit des observateurs, consciemment ou inconsciemment, la valeur d’un grand joueur diminue s’il n’a jamais brillé coupe du monde à l’exception peut-être d’Alfredo di Stefano ou Marco Van Basten. L’Anglais Keegan, le Finlandais Litmanen, le Danois Allan Simonsen, l’Espagnol Luis Suarez., le Malien Salif Keika entre autres souffrent de ce manque. Les défenseurs, tout brillants qu’ils peuvent être, ne provoquent pas l’enthousiasme. Les attaquants et milieux offensifs ont la part du lion dans la considération des spectateurs et téléspectateurs. Retenez cependant que les deux arrières centraux italiens Nesta et Cannavaro sont considérés parmi les meilleurs. En revanche, un certain doute plane sur les Brésiliens Luicio et Juan, les Argentins Heinze et Ayala. On regrette que Rafael Marquez n’ait pas un alt

La première «greffe du bassin» au Canada

La première «greffe du bassin» au Canada a été réalisée par un médecin d’origine haïtienne. Il s’appelle Claude Jean-François. Par Donald Jean, Montréal S’il est sans doute peu médiatisé, et conséquemment, peu connu du public, le docteur Claude Jean-François est pourtant une sommité dans le monde médical québécois et canadien. Ce spécialiste, le saviez-vous, d’origine haïtienne, est passé à l’histoire médicale du pays pour avoir été le premier médecin à réaliser une «greffe de bassin» au Canada. L'orthopédiste Claude Jean-François Revenant au micro de l’agence de presse «Média Mosaïque» sur cette intervention qui a fait sa célébrité au milieu des années 80, le docteur Jean-François dit avoir reçu des messages de sympathies et des récompenses provenant d’un peu partout de la planète pour avoir été à l'origine d'un tel exploit. «Les félicitations venaient des Etats-Unis d’Amérique, de l’Afrique, du Mexique, de l’Amérique latine et bien sûr du Canada», a raconté le spécialist

Coup dur pour le Brésil

On a appris ce matin la blessure de l'indiscutable milieu défensif brésilien, Edmilson suite à une frappe de balle lors d'une séance d'entrainement de la Selecao ce mardi 30 mai. Selon le medecin de l'équipe du bresil les examens pousés du genou droit d'Edmilson ont revélé une rupture du ménisque latéral ce qui le rend indisponible pour jouer la coupe du monde car il lui faut une opération d'urgence du genou droit. Edmilson est actuellement au Brésil où il doit commencer à recevoir les soin que son cas mérite. """"""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""" Et quoi d'autre? Bon ou mauvais présage? Finalement cela tant à devenir une constante chez la selecao. On croirait revivre une aventure déjà vécu. Depuis 1994, le sort de l

Sport-coupe du monde 2006

Les 17 Coupes du Monde de Football 1) Uruguay 1930, Finale à Montevideo : Uruguay – Argentine 4/2 champion Uruguay, vice-champion Argentine (pas de match pour la 3è place) 2) Italie 1934, Finale à Rome : Italie – Tchécoslovaquie 2/1 Champion Italie, vice-champion Tchécoslovaquie, 3è Allemagne, 4è Autriche 3) France 1938, Finale à Paris : Italie – Hongrie 4/2 Champion: Italie, vice-champion: Hongrie, 3è Brésil, 4è Suède 4) Brésil 1950, Tour final des vainqueurs de groupe à Rio de Janeiro : Champion: Uruguay, vice-champion: Brésil, 3è Suède, 4è Espagne 5) Suisse 1954, Finale à Berne : R.F.A. – Hongrie 3/2 Champion: R.F.A., vice-champion: Hongrie, 3è Autriche, 4è Uruguay 6) Suède 1958, Finale à Stockholm : Brésil – Suède 5/2 Cmhampion: Brésil, vice-champion: Suède, 3è France, 4è R.F.A. 7) Chili 1962, Finale à Santiago du Chili : Brésil – Tchécoslovaquie 3/1 Champion: Brésil, vice-champion: Tchécoslovaquie, 3è Chili, 4è Yougoslavie 8) Angleterre 1966, Finale à Londres : Angleterre – R.F.A.

SPORT

Coupe du monde 2006 Suivez avec nous toutes les dernières nouvelles de la coupe du monde 2006 . Zone Amérique du Sud, Brésil (BRA) Le Brésil, éternel favori Un souvenir lointain ! Ainsi peut-on qualifier les difficultés éprouvées par la Seleção lors de la compétition préliminaire pour la Coupe du Monde de la FIFA, Corée/Japon 2002. En effet, le Brésil a aujourd'hui su changer radicalement le visage du football mondial. Quatre ans après la crainte d'une non-participation à la Coupe du Monde, les Auriverdes sont actuellement champions du monde, souverains de l'Amérique du Sud, et tenants de la Coupe des Confédérations de la FIFA. Et qui plus est, ils ont fini en tête des éliminatoires de la Zone Amérique du Sud ! De quoi sans doute dissuader ses adversaires lors du prochain grand rendez-vous du ballon rond. A présent, les vieux démons de 2001 sont exorcisés. Aujourd'hui, l'opinion publique nationale et internationale s'accorde à reconnaître que le Brésil est le fa